Le coaching s’effectue sur la base d’un « contrat » par lequel le coach et son client conviennent de l’objectif à atteindre, de la durée et des modalités du coaching.
En entreprise, l’objectif du contrat, ainsi que les critères qui permettront de vérifier que cet objectif a été atteint, sont déterminés par les trois parties (supérieur hiérarchique ou responsable RH, coach et coaché). En revanche, le contenu des séances reste confidentiel.
L’intervention d’un coach externe est généralement bien perçue par le collaborateur ou le cadre concerné, qui apprécie que son employeur se soucie de lui.
Le coût du coaching (modeste en regard de son efficacité) est pris en charge par l’entreprise et considéré comme une mesure de formation continue.
Pour l’entreprise, l’intérêt de mandater un coach externe réside dans :
- La discrétion de la mesure (les séances ont lieu au cabinet du coach)
- La neutralité du coach (contrairement au manager-coach et au coach interne,
souvent trop impliqués) - L’expérience du coach, son ouverture, sa créativité (permettant de trouver des
options satisfaisantes, voire de faire du benchmarking).
Quelques exemples de situations ayant justifié une intervention :
- Un responsable de secteur, fraîchement nommé, avait besoin d’appui pour être à l’aise dans sa fonction
- Un collaborateur dérangeait par son comportement, mais il avait du potentiel et l’entreprise souhaitait le garder
- Un cadre prenait de nouvelles responsabilités en matière de management des ressources humaines
- Un dirigeant se trouvait seul devant des décisions importantes
- Une personne hésitait sur son avenir professionnel au sein de l’entreprise
- Une personne licenciée avait besoin d’un bilan de compétences et d’une aide à la
recherche d’emploi.